Objet d'étude : La littérature d'idées du XVIe siècle au XVIIIe siècle.
Problématique générale : Les fables des livres VII à IX, petites histoires pour enfants, ou réflexion poétique sur l'homme ?
Support : Jean de la Fontaine, Fables, coll. Livre de poche, éd. LGF.
Documentez-vous sur La Fontaine, en particulier ses différents recueils de fables.
Livres I à VI | Livres VII à IX | |
Dates | ||
Destinataires | ||
Sources | ||
Personnages | ||
Formes |
Proposez une morale à cette fable.
1. Comment Perrette est-elle présentée physiquement, moralement, socialement ?
2. Étudiez sa rêverie.
a. Comment entend-on ses pensées ?
b. Montrez que cette rêverie va trop vite, trop loin.
c. En quoi est-elle très matérialiste ?
3. Commentez la fin de l'histoire.
1. Marri : fâché.
Perrette sur sa tête ayant un Pot au lait
Bien posé sur un coussinet,
Prétendait arriver sans encombre à la ville.
Légère et court vêtue elle allait à grands pas ;
Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile,
Cotillon simple, et souliers plats.
Notre laitière ainsi troussée
Comptait déjà dans sa pensée
Tout le prix de son lait, en employait l'argent,
Achetait un cent d'œufs, faisait triple couvée ;
La chose allait à bien par son soin diligent.
Il m'est, disait-elle, facile,
D'élever des poulets autour de ma maison :
Le Renard sera bien habile,
S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon.
Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ;
Il était quand je l'eus de grosseur raisonnable :
J'aurai le revendant de l'argent bel et bon.
Et qui m'empêchera de mettre en notre étable,
Vu le prix dont il est, une vache et son veau,
Que je verrai sauter au milieu du troupeau ?
Perrette là-dessus saute aussi, transportée.
Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ;
La dame de ces biens, quittant d'un œil marri1
Sa fortune ainsi répandue,
Va s'excuser à son mari
En grand danger d'être battue.
Le récit en farce en fut fait ;
On l'appela le Pot au lait.
...
Jean de La Fontaine, Fables, VII, 9, 1678.
Quelle histoire raconte cette peinture ?
Fragonard, Perrette et le pot au lait, 1770.
Préparez un bref exposé (5-10 minutes) sur un des groupements de poèmes suivants :
Après une brève introduction, vous présenterez chaque poème (vous situerez le texte, lirez quelques vers -ceux qui vous paraissent les plus pertinents-, résumerez le propos), puis vous mettrez en évidence les points communs entre les textes.
On attend un exposé vivant (pas de lecture), structuré (introduction - développement - conclusion) et pertinent (avec du contenu et des informations pertinentes).
Une prestation orale ne peut atteindre la moyenne si : l'exposé montre que les poèmes ne sont pas compris ; l'exposé est une simple redite des poèmes ; l'exposé n'est pas compréhensible en plusieurs endroits ; l'exposé est très court.
/20 | De 1 à 5 | De 6 à 10 | De 11 à 15 | De 16 à 20 |
---|---|---|---|---|
Lire, analyser, interpréter ; tisser des liens entre différents textes |
Le sens littéral des poèmes est globalement compris. |
Le sens littéral des poèmes est compris. |
Le sens littéral des poèmes est compris. Des rapprochements sont effectués entre les poèmes. |
Le sens littéral des poèmes est compris ; l'implicite des poèmes est perçu. Des rapprochements sont effectués entre les poèmes et les spécificités de chaque texte sont mises en évidence. |
Construire un jugement argumenté |
La réponse est structurée : introduction, développement, conclusion. |
La réponse est structurée et suit une logique perceptible. Des références au texte sont faites. |
La réponse est structurée et suit une logique convaincante. Des références précises au texte sont faites. |
|
S'exprimer à l'oral |
L'expression et le niveau de langue sont acceptables. |
L'expression et le niveau de langue sont appropriés. L'élève s'adresse à son auditeur. |
L'expression est fluide, le niveau de langue est approprié. L'élève communique avec aisance et conviction. |
Comparez les utopies proposées par ces deux documents.
1. Quels sont les différents éléments qui font de ce pays une utopie ?
2. À quoi sert, selon vous, la description d'un tel endroit ?
Selon vous, les oeuvres de divertissement -fables, utopies, science-fiction, etc.- sont-elles nécessaires à notre époque ?
Télémaque et son précepteur Mentor rencontrent un capitaine de navire dont le frère Adoam leur dépeint un pays extraordinaire, la Bétique.
Le fleuve Bétis coule dans un pays fertile et sous un ciel doux, qui est toujours serein. Le pays a pris le nom du fleuve, qui se jette dans le grand Océan, assez près des Colonnes d'Hercule1 et de cet endroit où la mer furieuse, rompant ses digues, sépara autrefois la terre de Tharsis2 d'avec la grande Afrique. Ce pays semble avoir conservé les délices de l'âge d'or. Les hivers y sont tièdes, et les rigoureux aquilons3 n'y soufflent jamais. L'ardeur de l'été y est toujours tempérée par des zéphyrs4 rafraîchissants, qui viennent adoucir l'air vers le milieu du jour. Ainsi toute l'année n'est qu'un heureux hymen5 du printemps et de l'automne, qui semblent se donner la main. La terre, dans les vallons et dans les campagnes unies, y porte chaque année une double moisson. Les chemins y sont bordés de lauriers, de grenadiers, de jasmins et d'autres arbres toujours verts et toujours fleuris. Les montagnes sont couvertes de troupeaux, qui fournissent des laines fines recherchées de toutes les nations connues. Il y a plusieurs mines d'or et d'argent dans ce beau pays ; mais les habitants, simples et heureux dans leur simplicité, ne daignent pas seulement compter l'or et l'argent parmi leurs richesses : ils n'estiment que ce qui sert véritablement aux besoins de l'homme. Quand nous avons commencé à faire notre commerce chez ces peuples, nous avons trouvé l'or et l'argent parmi eux employés aux mêmes usages que le fer, par exemple, pour des socs6 de charrue. Comme ils ne faisaient aucun commerce au-dehors, ils n'avaient besoin d'aucune monnaie. Ils sont presque tous bergers ou laboureurs. On voit en ce pays peu d'artisans : car ils ne veulent souffrir que les arts qui servent aux véritables nécessités des hommes ; encore même la plupart des hommes en ce pays, étant adonnés à l'agriculture ou à conduire des troupeaux, ne laissent pas d'exercer les arts nécessaires pour leur vie simple et frugale.
Fénelon, Les Aventures de Télémaque, septième livre, 1699.
Hayao Miyazaki, Le Château dans le ciel, 1986, de 1:25:25 à 1:33:35.
1. Montagnes qui bordent le détroit de Gibraltar.
2. Péninsule ibérique.
3. Vents du nord.
4. Vents d'ouest.
5. Mariage.
6. Pièce de charrue.
Vous résumerez ce texte en 175 mots.
Selon vous, la rêverie est-elle une activité utile ?
Au sens courant, l'imagination a longtemps renvoyé aux productions fantasmatiques de l'esprit humain. Elle est associée aux rêves, à la rêverie, à la fiction (roman, contes, récits, fables), à l'art, à l'utopie. Imaginer, c'est s'évader en pensée : l'enfant qui rêve de terrasser des monstres ou l'écrivain qui écrit un roman, le prophète ou le médium qui entre en communication avec les esprits de l'au-delà, etc. L'imagination nous transporte en pensée dans le futur, le passé, dans les mondes de l'au-delà, peuplés de personnages étranges.
Cette vision poétique et enchantée de l'imagination ne recouvre qu'une partie de l'immense domaine dans lequel s'exprime la créativité. De plus en plus d'experts admettent aujourd'hui que la création ne se réduit pas au monde des arts, des rêves et des utopies. L'imagination créatrice s'exprime aussi dans les sciences, la technologie, le travail et la vie quotidienne.
Partons d'abord au pays des mathématiques. A priori, nous voilà au royaume des formules, des raisonnements rigoureux, des chiffres, des modèles. Quoi de plus étranger à l'imagination ? Si l'on écoute les mathématiciens eux-mêmes, beaucoup admettent avoir recours à une pensée imaginative. Le mathématicien Jacques Hadamard l'avait déjà noté il y a un demi-siècle. L'imagination – c'est-à-dire la pensée en image – joue un grand rôle dans l'invention mathématique. La construction de théorie géométrique ou algébrique passe par des constructions mentales dans lesquelles interviennent des images de nature visuelle. Souvent, un mathématicien "voit" une solution en imaginant un chemin nouveau qui lierait deux domaines des mathématiques jusque-là séparés. Cette vision vient en premier, la démonstration suit. Ce n'est sans doute pas un hasard si le mot "théorème" renvoie, selon l'étymologie grecque, au mot "vision". [...]
François Jacob, prix Nobel de médecine en 1965, décrit ainsi la démarche du chercheur : "Contrairement à ce que j'avais pu croire, la démarche scientifique ne consistait pas simplement à observer, à accumuler des données expérimentales et à en tirer une théorie. Elle commençait par l'invention d'un monde possible, ou d'un fragment de monde possible, pour le confronter, par l'expérimentation, au monde extérieur. Et c'était ce dialogue entre l'imagination et l'expérience qui permettait de se former une représentation toujours plus fine de ce que l'on appelle la"réalité"."
En mathématique, en physique, en chimie, en biologie, etc., on réhabilite aujourd'hui le rôle fécond de l'imagination et de son cortège d'analogies et de métaphores, qui seraient de puissants générateurs de modèles. Les sciences humaines ne sont d'ailleurs pas en reste, à l'heure où l'on redécouvre la valeur heuristique du récit et de la littérature.
La technique, longtemps mal aimée des philosophes et des poètes (qui y voyaient le règne de l'utilitaire), est redécouverte aujourd'hui sous son visage créatif. Regardons les objets qui nous entourent : téléphone portable, ordinateur, machine à café, montre, chaussures, etc. ont été rêvés avant d'être fabriqués. L'imagination créatrice intervient d'abord dans la motivation de l'ingénieur. Les frères Montgolfier ont inventé la montgolfière ou les frères Wrigth les avions non pas pour améliorer les moyens de transport, mais d'abord parce qu'ils rêvaient de voler. Charles Cros, l'un des inventeurs du phonographe, était un poète qui voulait garder la voix des gens disparus. Et la biographie des inventeurs, de Thomas Edison à Steve Job, révèle la part de rêve qui les anime depuis l'enfance.
Mais l'imagination intervient surtout dans l'acte de conception proprement dit. Construire une maison, un bateau, inventer un nouvel objet technique supposent un travail mental de construction de "mondes possibles", des objets techniques imaginés d'abord sous forme d'ébauches, de plans, de croquis et de schémas. Réalisée seule ou en équipe, la création d'une automobile suppose, du prototype initial au design final, des couches successives de créations techniques et esthétiques. L'imagination créatrice est ainsi présente dans nos assiettes, nos vêtements, le décor de mon appartement, et même sur l'étiquette de mon pot de moutarde. Tous les objets qui nous entourent sont des concentrés d'imagination gravés dans la matière.
Jean-François Dortier, "Nous sommes tous des créateurs", Sciences Humaines, n° 221 - décembre 2010 - Imaginer, créer, innover...Le travail de l'imagination
Préparez une lecture à deux voix de cette fable.
Transformez les deux questions des vers 20 à 23 en interrogations indirectes et expliquez les changements opérés. Quelle formulation (directe/indirecte) vous paraît la meilleure ? Pourquoi ?
Préparez une réponse développée mais non rédigée aux deux questions ci-dessous.
1. Montrez que cette fable nous propose un récit amusant.
2. Que nous montre cette fable sur l'art de parler et le pouvoir des histoires ?
Dans Athènes autrefois peuple vain et léger,
Un Orateur voyant sa patrie en danger,
Courut à la Tribune ; et d'un art tyrannique,
Voulant forcer les cœurs dans une république,
Il parla fortement sur le commun salut.
On ne l'écoutait pas : l'Orateur recourut
A ces figures violentes,
Qui savent exciter les âmes les plus lentes.
Il fit parler les morts, tonna, dit ce qu'il put.
Le vent emporta tout ; personne ne s'émut.
L'animal aux têtes frivoles
Étant fait à ces traits, ne daignait l'écouter.
Tous regardaient ailleurs : il en vit s'arrêter
À des combats d'enfants, et point à ses paroles.
Que fit le harangueur ? Il prit un autre tour.
Cérès, commença-t-il, faisait voyage un jour
Avec l'Anguille et l'Hirondelle :
Un fleuve les arrête ; et l'Anguille en nageant,
Comme l'Hirondelle en volant,
Le traversa bientôt. L'assemblée à l'instant
Cria tout d'une voix : "Et Cérès, que fit-elle ?
- Ce qu'elle fit ? un prompt courroux
L'anima d'abord contre vous.
Quoi, de contes d'enfants son peuple s'embarrasse !
Et du péril qui le menace
Lui seul entre les Grecs il néglige l'effet !
Que ne demandez-vous ce que Philippe1 fait ?"
A ce reproche l'assemblée
Par l'Apologue réveillée
Se donne entière à l'Orateur :
Un trait de Fable en eut l'honneur.
Nous sommes tous d'Athènes en ce point ; et moi-même,
Au moment que je fais cette moralité,
Si Peau d'Âne m'était conté,
J'y prendrais un plaisir extrême,
Le monde est vieux, dit-on, je le crois, cependant
Il le faut amuser encor comme un enfant.
La Fontaine, Fables, "Le Pouvoir des Fables", VIII, 4, 1678
1. Philippe de Macédoine, roi qui tentait de s'emparer les cités grecques.
Rédigez un développement et une conclusion de commentaire en vous appuyant sur le plan élaboré en cours.
Exemple :
Cette fable propose un récit amusant.
En effet, il y a d'un côté, un orateur qui fait tout ce qu'il peut pour capter l'attention. C'est un vrai personnage de comédie ; il est toujours dans l'excès. Il ne se rend pas à la tribune, il "court". Le personnage paraît un peu ridicule, comme le souligne la désignation péjorative de "harangueur" (un personnage qui discourt interminablement). Sa fougue est mise en évidence par le champ lexical de la violence : il parle "fortement", recourt à des "figures violentes", "tonn[e]". Ce mot imagé associe les paroles de l'orateur au tonnerre, et on perçoit la gradation : l'orateur s'énerve de plus en plus. Ce personnage excessif, mais inoffensif, est donc un personnage comique.
Face à lui, une foule...
Vous avez donc cinq paragraphes à rédiger, plus une conclusion.
AVERTISSEMENT : tout copier-coller sera sévèrement sanctionné.
Placez les oeuvres ci-contre dans l'ordre chronologique.
Fontenelle, "La Dent d'Or", Histoire des Oracles |
Joel Pommerat, Pinocchio |
La Fontaine, "La Cigale et la Fourmi", Les Fables |
La Fontaine, "La Laitière et le Pot au lait", Les Fables |
La Fontaine, "Le Pouvoir des Fables", Les Fables |
Marivaux, L'Île des Esclaves |
Neil Gaiman, Pourquoi notre futur dépend des bibliothèques, de la lecture et de l'imagination |
Samuel Beckett, En Attendant Godot |
Victor Hugo, Les Contemplations |
1. Retrouvez à quelle fable correspond chaque image.
2. Reliez chaque morale à l'image qui lui correspond.
"Il se faut entraider, c'est la loi de nature." |
"Je définis la cour un pays où les gens [...] / Sont ce qu'il plaît au prince, ou, s'ils ne peuvent l'être, / Tâchent au moins de le paraître. / Peuple caméléon, peuple singe du maître." |
"La convoitise perdit l'un ; / L'autre périt par l'avarice." |
"La Mort ne surprend point le sage : / Il est toujours prêt à partir." |
"Mais quoi ? si l'amour n'assaisonne / Les plaisirs que l'hymen nous donne, / Je ne vois pas qu'on en soit mieux." |
"Quand le mal est certain, / La plainte ni la peur ne changent le destin ; / Et le moins prévoyant est toujours le plus sage." |
3. Remettez ensemble le genre, le type d'argumentation et l'exemple.
Apologue |
Argumentation directe |
Argumentation indirecte |
Essai |
"La Laitière et le Pot au lait" |
Pourquoi notre futur dépend des bibliothèques, de la lecture et de l'imagination |
Vous ferez l'un des sujets d'écriture ci-contre en vous appuyant sur les livres VII à IX.
Faites le portrait d'un personnage des Fables. Vous proposerez une image (photographie, gravure, etc.) que vous illustrerez par quelques vers extraits des Fables de La Fontaine qui décriront le mieux son caractère :
- Le Lion : Le Lion, le Loup et le Renard ; Les Animaux malades de la peste ; La Cour du Lion ; Les Obsèques de la Lionne ;
- Le Loup : Le Lion, le Loup et le Renard ; Le Loup et le Chasseur ; Le Loup et le chien maigre ;
- Le Chat : Le Chat, la Belette, et le petit Lapin ; Le Chat et le Renard, Le Singe, et le Chat ; Le Chat et le Rat ;
- L'Homme : L'ingratitude et l'injustice des hommes envers la Fortune ; L'Homme et la Puce ; Le Gland et la Citrouille ;
- La Femme : Le mal marié ; La Laitière et le Pot au lait ; Les Femmes et le Secret ; La Fille.
Vous pouvez citer des vers de plusieurs fables. Essayez, dans la mesure du possible, de garder les rimes.
Recopiez quatre morales qui vous paraissent intéressantes en les illustrant d'une image contemporaine (caricature, photographie, etc.).
1. Remettez en forme la fable ci-contre.
2. Proposez une suite.
Avec grand bruit et grand fracas un torrent tombait des montagnes : tout fuyait devant lui ; l'horreur suivait ses pas ; il faisait trembler les campagnes. Nul voyageur n'osait passer une barrière si puissante ; un seul vit des voleurs ; et se sentant presser, il mit entre eux et lui cette onde menaçante. Ce n'était que menace et bruit sans profondeur : notre homme enfin n'eut que la peur. Ce succès lui donnant courage, et les mêmes voleurs le poursuivant toujours, il rencontra sur son passage une rivière dont le cours image d'un sommeil doux, paisible, et tranquille, lui fit croire d'abord ce trajet fort facile : point de bords escarpés, un sable pur et net.
Soit l'interrogation : "Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, / Vu le prix dont il est, une vache et son veau, / Que je verrai sauter au milieu du troupeau ?"
1. Simplifiez la phrase pour n'en garder que les éléments essentiels.
2. Placez cette question simplifiée dans le tableau ci-dessous.
TOTALE | PARTIELLE | |
DIRECTE | ||
INDIRECTE |
3. Transformez-la de façon à remplir toutes les cases du tableau.