Maîtriser les relations entre l’oral et l’écrit
> Connaître les différences entre l’oral et
l’écrit |
Les élèves savent distinguer certains homophones
en contexte.
Les élèves maîtrisent la variation et les marques
morphologiques du genre et du nombre, à l’écrit et à
l’oral pour les noms, les déterminants, les
adjectifs, les pronoms et les verbes.
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Progressivement, les élèves réfléchissent sur la
langue, pour la manipuler, la décrire et la
commenter.
Ils comprennent que la syntaxe de l’oral peut être
différente de celle de l’écrit et connaissent les
incidences de l’écrit sur l'oral (liaison) et de
l’oral sur l’écrit (élision).
Ils mesurent les écarts de niveau de langue entre
l’oral et l’écrit.
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Les élèves transposent des énoncés oraux à l’écrit
et inversement.
Ils insèrent dans un texte des paroles rapportées
au discours direct ou indirect.
Dans le cadre d’un oral scolaire, les élèves sont
attentifs aux niveaux de langue : ils excluent le
niveau familier pour privilégier le niveau
courant.
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Les élèves maîtrisent la transposition d’énoncés
oraux à l’écrit et inversement.
Ils insèrent dans un texte des paroles rapportées,
y compris en utilisant éventuellement le discours
indirect libre.
Dans le cadre de l’oral scolaire, les élèves sont
capables de recourir à des éléments lexicaux de
niveau soutenu.
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Identifier les constituants d’une phrase simple -
Se repérer dans la phrase complexe > Analyser le
fonctionnement de la phrase simple et de la phrase
complexe |
Les élèves identifient, nomment précisément et
connaissent les caractéristiques des COD, des COI et
des CC.
En fin d’année, les élèves identifient les
constituants de la phrase simple dans des situations
plus complexes.
Ils distinguent phrase simple et phrase complexe à
partir du repérage des propositions.
Les élèves repèrent les différents modes
d’articulation des propositions au sein de la phrase
complexe. Ils connaissent les notions de
juxtaposition, coordination, subordination.
Ils différencient les conjonctions de coordination
des conjonctions de subordination.
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Les élèves distinguent les principaux constituants
de la phrase simple et les hiérarchisent.
Ils reconnaissent le sujet dans des cas simples où
il est séparé du verbe par un complément, pronom ou
groupe nominal.
Ils approfondissent leur connaissance du COD et du
COI dans les cas complexes où ils sont pronoms, et/ou
avec des verbes à plusieurs compléments.
En plus de ceux abordés en cycle 3, ils
reconnaissent les compléments circonstanciels de
moyen, de manière et de but.
Les élèves identifient la fonction épithète et la
fonction complément du nom, abordées au cycle 3.
Ils identifient et nomment précisément les classes
de mots déjà repérées aux cycles précédents : nom,
verbe, adjectif, déterminant (article défini, article
indéfini, déterminant possessif, déterminant
démonstratif) pronom personnel sujet et objet,
adverbe, préposition, conjonction de coordination et
de subordination.
Ils identifient les déterminants qui n’ont pas été
abordés au C3 : article partitif, déterminants
interrogatifs, exclamatifs, indéfinis, numéraux.
Ils repèrent la nature du pronom relatif, en lien
avec son antécédent et identifient une proposition
subordonnée relative.
Ils distinguent phrase simple et phrase
complexe.
Ils identifient les constituants de la phrase
complexe par analogie avec les constituants de la
phrase simple.
Ils identifient la juxtaposition.
Ils connaissent les notions de coordination et
subordination.
Ils consolident leur connaissance des trois types
de phrase et des formes exclamatives et négatives.
Ils identifient la forme passive.
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Dans une phrase simple, les élèves reconnaissent
le sujet même dans les cas complexes où il est
éloigné du verbe par plusieurs compléments.
Ils identifient, en plus de ceux étudiés
précédemment, les compléments circonstanciels de
conséquence.
Ils élargissent leurs connaissances des fonctions
grammaticales en identifiant l’apposition et en
distinguant cette fonction de l’épithète et du
complément du nom.
Ils consolident leur connaissance des classes de
mots. Ils identifient les pronoms démonstratifs et
possessifs, et les degrés de l’adjectif (comparatif
et superlatif).
Ils nomment précisément toutes les conjonctions de
coordination et les prépositions les plus
fréquentes.
Ils différencient la proposition subordonnée
relative de la proposition subordonnée
conjonctive.
Ils identifient la proposition subordonnée
interrogative indirecte.
Ils repèrent la phrase complexe formée de deux
propositions situées sur le même plan reliées par
juxtaposition ou coordination et la phrase complexe
dans laquelle une proposition subordonnée est régie
par une proposition principale.
Ils consolident leur connaissance des trois types
et des trois formes de phrase déjà abordés
précédemment et identifient la forme
impersonnelle.
Ils analysent le rôle syntaxique des signes de
ponctuation et les utilisent à bon escient.
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Ils élargissent leurs connaissances des fonctions
grammaticales et identifient l’attribut du COD dans
une phrase simple.
Ils identifient tous les compléments
circonstanciels.
Ils identifient tous les autres pronoms :
indéfinis, interrogatifs, adverbiaux et relatifs.
Ils comprennent le fonctionnement du pronom
relatif dans la phrase et sa fonction dans la
proposition subordonnée.
Ils identifient les propositions subordonnées qui
n’ont pas été abordées précédemment : infinitives,
participiales.
Ils comprennent la fonction grammaticale des
propositions subordonnées dans la phrase.
Ils analysent le rôle syntaxique de tous les
signes de ponctuation et les utilisent à bon
escient.
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Les relations au sein de la phrase
complexe. L’analyse syntaxique de la phrase
complexe, déjà abordée au cycle 4, doit être
consolidée et complétée : l’étude des rapports entre
les propositions (juxtaposition, coordination,
subordination) qui a été menée au collège s’enrichit
d’une étude sémantique de ces rapports permettant de
rendre compte avec précision de l’interprétation des
textes.
La syntaxe des propositions subordonnées
relatives. On s’attache à revoir les
subordonnées dont la syntaxe et la relation avec la
proposition principale peuvent être source de
difficultés. On travaille en priorité la
compréhension de la structure des relatives
(notamment celles qui sont introduites par dont,
auquel, duquel, etc.), en insistant, par exemple, sur
ce qui les distingue des subordonnées
conjonctives.
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Les subordonnées conjonctives utilisées en
fonction de compléments circonstanciels. Le
professeur rappelle aux élèves les subordonnées
conjonctives utilisées en fonction de compléments
circonstanciels de cause, de conséquence, de but, de
condition et de concession, ainsi que les outils
grammaticaux qui permettent leur construction, y
compris les plus rares et complexes : ces
subordonnées sont en effet essentielles dans
l’argumentation, en lecture comme dans l’expression.
Pour les besoins du travail de l’expression écrite et
orale, on rapproche systématiquement les subordonnées
d’autres moyens linguistiques permettant d’exprimer
les mêmes relations logiques ou situationnelles
(connecteurs, groupes prépositionnels, etc.), et on
explique les nuances des emplois argumentatifs de ces
structures.
L’interrogation : syntaxe, sémantique et
pragmatique. On peut présenter les
différentes formes de phrase interrogative associées
au niveau de langue (ou registre) mais on vise à
éclairer surtout les distinctions entre
l’interrogation directe et les interrogatives
indirectes (ou enchâssées), souvent peu maîtrisées
dans les productions écrites et orales. On peut
étudier plus précisément la syntaxe de la phrase
interrogative (nature et fonction du mot
interrogatif, notamment). Des prolongements ponctuels
vers la phrase exclamative et les discours rapportés
sont possibles. L’ouverture de perspectives
pragmatiques, avec la prise en compte des actes de
langage dans leur rapport aux types de phrases, offre
enfin l’occasion d’approfondir la syntaxe de
l’interrogation.
L’expression de la négation Il
s’agit d’étudier les différentes formes de
construction de la négation ; l’examen de la phrase
négative, de la préfixation et de l’opposition
lexicale (antonymie) permet de travailler sur des
unités de niveaux différents (mot, proposition) et
s’ouvre naturellement à l’expression écrite et orale.
À l’échelle des textes, on peut observer le
fonctionnement pragmatique de la négation (négations
partielles, énonciations implicites, etc.) et les
niveaux de langue utilisés.
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Acquérir l’orthographe grammaticale > Consolider
l’orthographe lexicale et grammaticale |
Ils maîtrisent les propriétés de l’attribut du
sujet et le distinguent du COD.
Ils maîtrisent l’accord du participe passé employé
avec être.
Ils poursuivent la mémorisation des temps déjà
appris et mémorisent, au cours de l’année, le
conditionnel présent et l’impératif présent pour :
être et avoir ; les verbes du 1 et du 2 groupe ; les
verbes irréguliers du 3 groupe : faire, aller, dire,
venir, pouvoir, voir, vouloir, prendre.
Les élèves identifient les marques de temps pour
le conditionnel présent et l’impératif présent.
Ils connaissent, en fin d’année, les régularités
des marques de temps et de personne.
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Les élèves connaissent le fonctionnement des
chaînes d’accord : ils maîtrisent l’accord dans le
groupe nominal, l’accord du participe passé avec
être, avec avoir quand le COD postposé, l’accord du
verbe dans quelques cas complexes.
Les élèves maîtrisent la morphologie verbale
écrite en appui sur les régularités et la
décomposition du verbe (radical, terminaison).
Ils identifient les principaux temps (présent,
futur simple, imparfait, passé simple, passé composé)
et identifient les modes indicatif et impératif.
Ils systématisent les règles de construction des
formes verbales aux différents temps simples (temps
de l’indicatif, conditionnel, impératif présent) à
partir de la connaissance des bases verbales.
Ils construisent les temps composés correspondant
aux temps simples et connaissent les formes du
participe passé des verbes (é, i, u).
Ils consolident leur connaissance de la
conjugaison du présent, de l’imparfait, du futur, du
passé simple, du passé composé, du plus-que-parfait,
temps de l’indicatif déjà abordés au C3.
Ils mémorisent le futur antérieur, le passé
antérieur ; le présent du subjonctif pour : être et
avoir ; les verbes du 1 et du 2 groupe ; les verbes
irréguliers du 3 groupe : faire, aller, dire, venir,
pouvoir, voir, vouloir, prendre.
En fin d’année, ils identifient et conjuguent pour
les verbes indiqués les quatre temps simples et les
quatre temps composés de l’indicatif.
Ils observent l’incidence de la valeur aspectuelle
des temps sur leurs emplois (premier plan/arrière-
plan).
Ils connaissent les principaux emplois des modes
indicatif et impératif.
Ils découvrent l’orthographe des préfixes et des
suffixes les plus fréquents.
Ils justifient l’orthographe d’un mot en prenant
appui sur son étymologie.
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Les élèves consolident leur connaissance du
fonctionnement des chaînes d’accord et maîtrisent
l’accord dans le groupe nominal complexe, l’accord du
participe passé avec avoir quand le COD est antéposé
et quand le COD est un pronom personnel, l’accord du
verbe dans les cas complexes.
Ils consolident leur maîtrise de la morphologie
verbale.
En plus des temps déjà maîtrisés, les élèves
identifient le passé du subjonctif et le passé du
conditionnel.
Ils construisent les temps composés et connaissent
les formes du participe passé des verbes (é, i, u et
formes avec consonne finale).
Ils construisent la voix passive et identifient la
forme impersonnelle.
Ils consolident leur connaissance de tous les
temps de l’indicatif, de l’impératif présent, du
conditionnel présent et du subjonctif présent, à
toutes les personnes pour : être et avoir ; les
verbes du 1 et du 2 groupe ; les verbes irréguliers
du 3 groupe : faire, aller, dire, venir, pouvoir,
voir, vouloir, prendre.
Ils connaissent la valeur aspectuelle des temps :
opposition entre temps simples et temps composés (non
accompli/accompli) ; opposition entre temps qui
embrassent ou non l’action dans sa borné/non
borné.
Ils connaissent les principaux emplois des modes
indicatif, impératif, conditionnel et ceux du
subjonctif pour exprimer un souhait, un désir, un
commandement ou un doute.
Ils mémorisent l’orthographe et le sens des
préfixes et des suffixes les plus fréquents et leur
effet éventuel sur le radical.
Ils utilisent leur connaissance de l’étymologie
des mots pour les orthographier correctement.
Ils mémorisent l’orthographe du lexique
appris.
Ils observent la formation des mots, les
analogies, les régularités et construisent des
réflexes orthographiques.
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En plus des accords déjà maîtrisés, les élèves
maîtrisent l’accord dans le groupe nominal comportant
une proposition subordonnée relative, l’accord de
l’adjectif et du participe passé en fonction
d’apposition.
Ils consolident leur maîtrise de l’accord du
participe passé employé avec l’auxiliaire avoir, et
l’orthographient correctement quand le COD est un
pronom relatif.
En fin d’année, les élèves maîtrisent des accords
orthographiques exigeant la prise en compte de plus
en plus d’éléments.
En plus des temps déjà maîtrisés, ils identifient
le subjonctif imparfait et le subjonctif
plus-que-parfait.
Ils maîtrisent la formation des temps simples et
des temps composés à tous les modes.
Ils analysent les effets de sens des formes
actives et passives.
Ils accroissent leur connaissance des conjugaisons
en mémorisant le passé du conditionnel et le passé,
l’imparfait et le plus-que-parfait du subjonctif à
toutes les personnes pour : être et avoir ; les
verbes du 1 et du 2 groupe ; les verbes irréguliers
du 3 groupe : faire, aller, dire, venir, pouvoir,
voir, vouloir, prendre.
Ils mémorisent la conjugaison des verbes falloir
et valoir aux temps étudiés.
À partir d’observations et de comparaisons, ils
approfondissent leur connaissance de la valeur
aspectuelle des temps : non accompli/accompli ;
borné/non borné.
Ils élargissent leur connaissance des principaux
emplois du mode subjonctif pour exprimer un souhait,
un désir, un commandement, un doute et après
certaines conjonctions (à condition que, bien que,
pour que, de crainte que…).
Ils mémorisent l’orthographe de préfixes et des
suffixes moins fréquents et mémorisent leur effet
éventuel sur le radical.
Ils mémorisent l’orthographe des racines les plus
productives.
Ils orthographient correctement les mots appris et
s’appuient sur leurs connaissances des régularités
pour orthographier correctement les mots
inconnus.
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Les accords dans le groupe nominal et
entre le sujet et le verbe. Cette question
d’orthographe grammaticale reprend de manière
synthétique les règles d’accord abordées depuis le
cycle 2, notamment celles entre le sujet et le verbe.
Elle offre en outre l’occasion de consolider la
connaissance des classes lexicales et des fonctions
syntaxiques dans la phrase simple.
Le verbe : valeurs temporelles,
aspectuelles, modales ; concordance des
temps. Jusqu’au cycle 4, le verbe fait
l’objet d’une approche principalement morphologique
et sémantique ; parvenus au lycée, les élèves doivent
donc être capables d’identifier une forme verbale. On
peut insister sur les phénomènes de concordance, sur
le rôle des temps dans la structuration des récits ou
dans la modalisation du propos.
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Enrichir le lexique > Enrichir et structurer le
lexique |
Les élèves comprennent la formation des mots
complexes par dérivation et par composition.
Ils mettent en réseau des mots, en identifiant des
familles de mots ou en recherchant des champs
lexicaux.
Ils perfectionnent la maîtrise de la synonymie, de
l’antonymie.
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Ils consolident leurs connaissances sur la
formation des mots par dérivation et composition,
notions abordées en C3. Ils sont sensibilisés à
l’étymologie des mots.
Ils connaissent le sens de quelques préfixes et
suffixes et de quelques racines latines et
grecques.
À partir d’un thème, les élèves établissent un
champ lexical.
À partir d’un mot, les élèves établissent son
champ sémantique : ils identifient la polysémie d’un
mot.
Ils perfectionnent la maîtrise de la synonymie, de
l’antonymie.
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Ils mettent en évidence les changements de
catégorie induits par la dérivation et leurs
incidences orthographiques. Ils repèrent les mots
formés par néologie.
Ils consolident et augmentent leur connaissance
des préfixes et suffixes les plus fréquents et de
certaines racines latines et grecques.
Ils mettent en réseau des mots (groupements par
champ lexical et par champ sémantique) et organisent
leur classement par degré d'intensité et de
généralité.
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Ils connaissent le sens des préfixes et suffixes
les plus fréquents, les racines grecques et latines
et certains emprunts aux langues étrangères.
Ils analysent le sens des mots : nuances et
glissements de sens, expressions figées, construction
des verbes et variations de sens.
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Des activités sont régulièrement consacrées au
renforcement des ressources trop souvent négligées du
lexique. Si le rappel des modes de néologie
(dérivation, composition, emprunt, etc.) ou des
relations lexicales (synonymie, antonymie,
hypéronymie, etc.) peut guider ou éclairer
ponctuellement l’exploration du lexique, celle-ci
doit aussi se déployer au gré des rencontres avec les
textes, hors du cadre rigide d’exercices mécaniques,
afin de mettre au jour les accointances discrètes ou
les voisinages féconds entre les mots.
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Construire les notions permettant l’analyse et
l’élaboration des textes et des discours |
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Les élèves repèrent ce qui détermine un niveau de
langue (situation de communication, enjeu…) et ce qui
le caractérise (lexique, syntaxe).
Ils identifient et interprètent les éléments de la
situation d’énonciation : qui parle à qui ? où ?
quand ? (marques de personne, de lieu et de temps) ;
ils prennent en compte la situation d’énonciation
dans la production d’écrits ; ils repèrent et savent
utiliser les phénomènes d’accord en relation avec
l’énonciation (je, tu).
Ils reconnaissent et utilisent les paroles
rapportées directement.
Ils identifient et utilisent des marques
d’organisation du texte (mise en page, typographie,
ponctuation, indicateurs de temps, de lieu et de
cause).
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Les élèves approfondissent leur connaissance des
niveaux de langue, ce qui permet de les déterminer
(situation de communication, enjeu…) et ce qui les
caractérise (organisation du propos, lexique,
syntaxe).
Ils observent la variation de la langue à travers
le repérage de différentes manières d’exprimer une
même idée ou une idée nouvelle : évolution du sens
des mots selon les époques, néologie, emprunts.
Ils reconnaissent et utilisent les paroles
rapportées indirectement.
Ils repèrent dans un texte et utilisent dans leurs
écrits les éléments de reprise ainsi que les
indicateurs de temps, lieu, cause, conséquence.
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Les élèves observent la variation à travers le
repérage de différentes manières d’exprimer une même
idée ou une idée nouvelle : évolution du sens des
mots selon les époques, néologie, emprunts ;
variation en fonction du lieu, du contexte, du moyen
de communication.
Ils reconnaissent et utilisent les paroles
rapportées directement, indirectement et
reconnaissent le discours indirect libre.
Ils repèrent dans un texte et utilisent dans leurs
écrits les éléments de reprise et tous les
connecteurs. Ils repèrent et interprètent des marques
de modalisation qu’ils réinvestissent dans des
situations d’écriture ou d’oral.
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